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Archives de la Saison 2023

Concerts en Mai

Samedi 13 Mai - Ensemble les Folies Françoises
Intégrale des Sonates de Bach pour violon et clavecin

Samedi 13 l’association avait invité à se produire les fondateurs de l’ensemble des Folies Françoises, Patrick Cohën-Akenine, violon, et Béatrice Martin, clavecin, pour interpréter l’intégrale des sonates, elles sont six, pour violon et clavecin, de Jean-Sébastien Bach, écrites au cours des belles années passées au service du prince Léopold de Coethen.
La vraie singularité de ces œuvres  est en fait qu’elles sont, dans une large mesure, des sonates en trio pour deux instrumentistes où les deux mains du claveciniste conduisent deux lignes distinctes, la droite dialoguant avec le violon alors que la gauche dessine la basse.
Ces œuvres rarement données en intégrale, tant elles comportent de délicats problèmes d'équilibre qu'elles imposent de résoudre aux deux instrumentistes, ont le temps de l’après midi et de la soirée séduit les mélomanes présents, certains venant de fort loin.
La veille, vendredi 13 les musiciens avaient répété devant une cinquantaine d’élèves des classes de  CE2, CM1 et 2 de l’école publique Malingié de la commune.











Dimanche 14 Mai - Ensemble Léviathan
A l'Ombre des Lumières


L’Ensemble Leviathan, créé par Lucile Tessier,  installé à Tours, rassemble de jeunes professionnels autour d’un objectif commun : explorer l'expressivité de la musique baroque, et la faire partager à un large public
Son programme « À l’ombre des Lumières », pour soprano et ensemble d’instruments de basse, explore les différentes facettes des Leçons de Ténèbres apparues au XVIIème siècle. Les Leçons de Ténèbres accompagnent les offices 
des ténèbres qui ont lieu à la tombée du jour pendant la Semaine Sainte. Ecrites le plus souvent pour voix de femme et continuo, sur les textes des Lamentations de Jérémie, les Leçons de Ténèbres participent à cette atmosphère dramatique, à la fois exaltée et repentie, associée au temps de Pâques.
Le hautbois de Lucile Tessier, l’orgue positif de Loris Barrucand, la viole de gambe de Julie Dessaint, le violoncelle de Camille Dupont et la voix d’Eugénie Lefebre, ont magnifié les œuvres de Michel Corrette, Joseph Michel, Joseph-Bodin de Boismortier, Michel-Richard Delalande et découvert récemment, Pierre-Louis Pollio (1724_1796) dont ce n’était que la deuxième interprétation de l’œuvre présentée « Première leçon de Jérémie du Samedi Saint » aux sonorités souvent bien modernes.
Un concert dont le public, il aurait pu être plus nombreux, se souviendra longtemps.













Festival

Dimanche 16 juillet - Le Concert Impromptu, quintette à vents

Dans le manège, à la scène joliment décorée par les établissements Simier, Jean-Louis Berthault, maire de la commune, Philippe Gouet, président du Conseil départemental et Hubert Armand, président du Festival ont ouvert cette 3ème saison, devant Jacqueline Gourault, amie du Festival, et plus de 150 mélomanes venus écouter l’ensemble Le Concert Impromptu,  quintette à vent.
L’Ensemble a proposé son programme « Et Toque – Musiques gastronomiques » autour d’œuvres de musiciens baroques, classiques et même rock qui dans leurs titres font référence à la gastronomie : « Symphonie pour les soupers du Roy » de Michel Richard Delalande, « La Valse du chocolat aux amandes » de Satie, « la Belle Hélène » d’Offenbach  mais aussi « Peaches en Regalia » de Frank Zappa  entre autres.
En hommage à Jane Birkin, partie rejoindre Serge Gainsbourg, Camille Donna Bart, basson, chante « Je suis venu te dire que je m’en vais », accompagnée de Violaine Dufès, hautbois, Yves Charpentier, flûte, Emilien Drouin, Cor. Dans le public quelques larmes coulent avant des applaudissements chaleureux.
Pour conclure leur spectacle, à la demande appuyée d’un bis de la part du public, ils interprètent sur des instruments ramenés de leur périple au Chili une musique typique des Andes.
 
Cette première soirée réussie s’est terminée par la traditionnelle dédicace de CD suivie du verre de l’amitié offert au public par la municipalité. Le dernier mélomane parti, les musiciens et quelques bénévoles ont pris ensemble, délicieux moment de convivialité, le repas préparé par Henri et Ginette.












Mardi 18 juillet - Les Salons Parisiens
Emmanuelle Bertrand - Pascal Amoyel et Nicolas Vaude


Tout d’abord il convient de remercier les employés du syndicat d’eau de la Vigne aux Champs qui ont mis en œuvre tous leurs moyens humains disponibles pour que l’accès au manège de l’abbaye ne pose pas de difficultés aux mélomanes du concert du soir.
Ce concert, Pascal Amoyel, Emmanuelle Bertrand et Nicolas Vaude le préparent depuis déjà quelques mois. Il s’agit pour eux, au travers de récits et d’écritures, d’écrivains, de musiciens, de dédicatrices, de faire revivre les Salons parisiens. Ces derniers permettaient à la haute bourgeoisie  d’exercer une quasi-hégémonie culturelle, hégémonie possible après la chute de l’aristocratie et dans une république qui n’avait pas encore acquis de puissance dirigeante suffisante, notamment pour les arts.
Pour cette première le manège de l’abbaye accueillait un peu plus de 150 mélomanes.
Le spectacle théâtralisé, sans entracte, où les œuvres de Ravel, Debussy, Saint-Saëns, Fauré, Chopin, … alternaient avec des textes de Rubinstein, Proust, Musset, Mesdames de Polignac, Marie d’Agout…, a tenu en haleine dans le plus grand des silences musical le public et s’est terminé sous un tonnerre d’applaudissement.

Comme d’habitude l’après concert a permis la rencontre des musiciens avec les mélomanes autour de la dédicace de CD.











 
Jeudi 20 juillet - En route vers l'Orient-Express
Vadim Tchijik et Armine Varvarian


Pour ce troisième concert du Festival, c’est à un duo Violon Piano, constitué dans leurs vies professionnelles, que François Chaplin, directeur artistique, avait demandé d’officier.
Vadim Tchijik, violoniste formé à l’Ecole centrale Spéciale de Musique du conservatoire Tchaïkovski de Moscou, et Armine Varvarian, pianiste « Médaille d’Or » du CNSM de Paris, ont choisi de présenter au public des mélomanes, un peu plus de 160 personnes, des œuvres composées par des musiciens originaires des pays dits de l’Est : le hongrois Bela Bartok, les tchèques Antonin Dvorak et Josef Suk.
Aux danses slaves de Dvorak en début de concert répondirent à sa conclusion les danses roumaines de Bartok. Entre elles, la virtuosité et le talent des artistes se mirent aussi en valeur sur les 4 pièces pour violon et piano de Suk et ainsi que  sur « Le Prélude et Allegro », l'une des partitions les plus connues de Fritz Kreisler, autrichien, grand classique de l'art, de l'histoire et de la technique du violon en raison de la virtuosité et du vibrato particuliers qu'exige sa maîtrise.
Comme d’habitude l’après concert a permis la rencontre des musiciens avec les mélomanes autour de la dédicace de CD.












Samedi 22 juillet - Grande Soirée pour Trio de Brahms
Anne Gastinel - Philippe Cassard - David Grimal


Ce samedi après-midi a commencé pour le Festival par une nouveauté. Les trois artistes invités, Anne Gastinel au violoncelle, Philippe Cassard au piano et David Grimal au violon, ont répété devant une soixantaine de personnes. Décontraction, humour, mais travail acharné ont été les maîtres mots de cet instant qui sera reproposé dans le futur. A noter que certains des spectateurs présents ont pris des places pour le spectacle du soir.
Ces derniers, plus de 200, ont écouté deux grands trios, séparés par un entracte à la buvette servie par l’association Pontlevoy Animations.
Le Trio pour piano et cordes no 3 en ut mineur opus 101 de Johannes Brahms, composé durant l'été 1886 fut créé en première audition publique en décembre 1886 à Budapest avec le violoniste Jenő Hubay, le violoncelliste David Popper et le compositeur au piano.
Le Trio no 2 de Schubert (D. 929 op. 100) est un trio de musique de chambre lyrique romantique en quatre mouvements, composé en novembre 1827 (un de ses plus célèbres chefs-d'œuvre, avant sa disparition précoce à l’âge de 31 ans). Son 2éme mouvement deviendra l’une des plus célèbres musiques de film de l'histoire du cinéma, avec le succès du film Barry Lyndon de Stanley Kubrick en 1975, Oscar de la meilleure musique de film 1976.
Chaque interprétation est suivie d’applaudissements nourris. Le concert se conclut sur de nombreux rappels avec deux bis et une ovation debout, particulièrement rare au Festival.
Cette soirée réussie s’est terminée par la traditionnelle dédicace de CD et le repas de fin de concert pris avec les bénévoles. La gentillesse de leurs invités en fit un délicieux moment.














Dimanche 23 juillet - Le Baroque des Bach's à Brahms
Marc Coppey et François Chaplin


Le concert baroque du Festival proposait ce dimanche 23 juillet un parcours musical allant de Jean-Sébastien Bach, de son fils Carl-Emmanuel jusqu’à Johannes Brahms, compositeur de la période romantique.
Aux instruments Marc Coppey, spécialiste entre autres de Bach, remportant aux débuts de sa carrière le 1er prix et le prix spécial de la meilleure interprétation de Bach du concours Bach de Leipzig et François Chaplin, pianiste et directeur artistique du Festival.
Tout d’abord en soliste Marc Coppey interprète la 3ème suite pour violoncelle en ut majeur BWV 1009 de JS Bach, puis François Chaplin la sonate en mi mineur de CPE Bach.
 
Ensemble ils jouent la sonate en mi mineur opus 38 de Brahms. Première des deux sonates pour violoncelle et piano elle est composée dès 1862 et achevée en 1865 à Karlsruhe. Initialement conçue en quatre mouvements, l'adagio prévu pour le deuxième mouvement fut retiré. L'ouvrage reçut aussitôt un vif succès, et elle fut surnommée sonate pastorale.
Chaque interprétation est suivie d’applaudissements nourris. Le concert se conclut sur de nombreux rappels avec deux bis, avant que les artistes se prêtent avec plaisir au  traditionnel moment de convivialité des dédicaces de CD.

















Mercredi 26 juillet - La Mandoline de Lviv, la grande histoire de l'Ukraine
Julien Martineau - Clara Cernat - Thierry Huillet - Julie Depardieu


Claire Cernat, violoniste d’origine roumaine, ne se doutait pas lorsqu’elle écrivit ce compte en 2021 de ce que l’Ukraine devrait subir au printemps 2022.  Au travers de l’histoire  d’une mandoline italienne, d’un violon de Bohème et d’un truculent chapeau tatar, témoins à travers les siècles des rêves et des passions transmis par les reine, prince, ménétrier tzigane, virtuose viennois, violoniste klezmer, luthiers, elle racontait la turbulente histoire de ce pays.
Inspiré par ce conte, Thierry Huillet, pianiste, a composé une splendide musique, imagée, lyrique, puissante, un bouquet d’harmonies et de sentiments qui mènent le public dans un beau voyage dans le temps.
Quant à la mandoline elle était confiée à Julien Martineau, l'un des rares mandolinistes à mener une carrière de concertiste, créateur d’une classe de mandoline au CRR de Toulouse, faisant partie du très petit cercle de mandolinistes - ils se comptent sur les doigts d’une main - à se produire dans le monde entier avec des orchestres symphoniques de premier plan.
Enfin, puisqu’il s’agissait d’un conte, il fallait une conteuse. Ce fut Julie Depardieu, actrice bien connue des films et productions télévisuelles, qui modulant sa voie, à la diction parfaite, se fit tour-à-tour, mandoline, violon et chapeau tatar.
Le public, plus de 200 mélomanes, fut au rendez-vous, avec parmi eux quelques ukrainiens, réfugiés à Pontlevoy et Romorantin, de ce magnifique spectacle d’un ensemble éminemment sympathique, qui ne se prend pas la tête, présent et disponible jusqu’à fort tard …. pour le grand plaisir des bénévoles de l’association.

















Vendredi 28 juillet - Concert de la Fondation Gourdon
Jeunes pianistes lauréats : Ionah Maiatsky et Darren Sheng


Ce concert gratuit pour les mélomanes est offert à l’association du Festival de Musique par le Gourdon Fonds « Demain Virtuoses » qui s’est donné pour but de favoriser, soutenir, pérenniser, promouvoir et financer toute action, notamment culturelle ou artistique, visant à venir en aide aux jeunes musiciens français ou étrangers.
Au programme de ce vendredi 28 juillet les pianistes Ionah Maiatsky et Darren Sheng,
Ionah Maiatsky, sélectionné en 2021 pour le prestigieux concours Clara Haskil, s’est vu décerner le premier prix du concours Albert Roussel à Paris. Il forme depuis 2018 le duo « Ermitage » avec le violoncelliste Paul-Marie Kuzma.
Darren Sheng remporte le 3ème prix de l’édition 2020 du concours international «Virtuoses du Cœur » et accède à la finale de la 14ème édition du concours international « Albert Roussel ». En septembre dernier il a intégré le CNSMD de Paris.
A leurs programmes des œuvres de Clémenti, Rachmaninov, Déodat de Séverac, Chopin et Scriabine.
Pour cette deuxième année, c’est avec plaisir que nous avons vu une belle progression de la fréquentation du public. Cela nous engage à continuer dans cette voie de médiation de qualité.
















 
Vendredi 28 juillet - Une Histoire de Famille
Marie-Josèphe Jude - Charles Heisser - Trio Pascal


Pour ce début de fin de semaine, le Festival proposait 3 concerts et une master-class sur 3 jours. Merci aux bénévoles de leur présence efficace et de leur soutien indéfectible pour accueillir musiciens dans le manège de l’abbaye qui recevait, ce soit là, quelques 120 mélomanes pour accueillir Marie-Josèphe Jude et son fils Charles Heisser, tous deux pianistes de grand talent et le trio Pascal, Denis, Aurélien et Alexandre, père et fils, pianiste, violoncelliste et violoniste.
Tout au long du concert, sur scène, commencé par la sonate en do M K521, jouée au piano à 6 mains, les artistes ont évolué soit seul, en duo, en trio, sur des œuvres de Debussy, de Falla, Piazzolla, d’improvisons de jazz. Le Trio Pascal a conclu la soirée avec le trio de Ravel composé en août 1914, alors que le musicien était engagé volontaire dans la Première Guerre mondiale et dont le premier mouvement a été utilisé intensément pour la bande son du film de Claude Sautet Un cœur en hiver, sorti en 1992.
















Samedi 29 juillet - Schubertiades
Quatuor Mona - David Kadouch - François Chaplin


Pour ce concert du samedi soir François Chaplin avait invité pour l’accompagner un quatuor de jeunes artistes venu des quatre coins du monde, le Quatuor Mona, et David Kadouch, pianiste, qui, dès ses 14 ans, s’est produit au conservatoire Tchaïkovsky de Moscou et en 2008 au Carnegie Hall de New-York. Pianiste souvent invité par Daniel Barenboim il a déjà enregistré 4 CD.
Le concert ouvert sur le quatuor à cordes KV 421 de Mozart par le Quatuor Mona s’est continué par des œuvres choisies pour montrer tout l’art de Schubert, soit en trio piano, violon, violoncelle ou au piano à 4 mains, voir seul en scène pour David Kadouch et François Chaplin.
 
Mais aussi, comme lors de la période de Schubert, par des extra comme La Sérénade de Pauline Viardo, un nocturne de Mendelssohn ou celui de l’opus 9 N°2 de Chopin.
Rare à Pontlevoy et la 2ème de cette saison, le concert s’est conclu sur une « Ovation debout » des 180 mélomanes présents.















Dimanche 30 juillet - Master Class Piano avec François Chaplin
Simon Nobilet et Mone Sakamoto


Depuis quelques années la master-class du Festival de Musique permet à de jeunes musiciens, élèves de conservatoire national supérieur de musique, de travailler en présence d’un professeur émérite face à un public. Une nouveauté cette année avec la prise en charge financière de cette master-class par le Gourdon Fonds qui s’est donné pour but de soutenir les futurs virtuoses de demain.
Ce dimanche matin, 30 juillet, François Chaplin, directeur artistique du Festival, faisait travailler sur des œuvres de Franz Schubert, Simon Nobilet et Mone Sakamoto, tous deux pianistes, élèves au CNSM de Paris.  Une petite heure durant, l’un après l’autre, ils ont joué l’œuvre, repris chaque fois que nécessaire à son avis par le professeur, quelque fois jouant lui-même au piano ce qu’il souhaitait entendre.
A noter qu’année après année cette mat
inée de médiation, à entrée libre, voit la participation du public progresser. Elle sera donc maintenue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

230730 – Concert Jazz Manouche – Hommage à Django Reinhardt et Stéphane Grappelli

Au vu des réservations on s’y attendait un peu et il s’en est fallu de peu que l’on ait manqué de places pour accueillir les mélomanes désireux de participer à ce concert de clôture de cette 38ème édition du Festival de Musique, dimanche 30 juillet.

La parfaite organisation des bénévoles tenant la billetterie et s’occupant du contrôle des billets et du placement des mélomanes a permis, comme c’est la plupart du temps le cas, de commencer le concert à l’heure.

En scène, Samuel Strouk, guitariste présentant les morceaux joués avec la complicité de la mémoire du jazz  de Ghali Hadefi, lui aussi guitariste, accompagnés de Jérémie Arranger, contrebassiste et d’Alba Obert au violon, ont, presque 90 minutes durant et mélangeant traditions tziganes et jazz américain, maitrisé à la perfection  le "swing gitan" fier et particulièrement émouvant de Django Reinhardt  aux répertoires de Grappelli,  Monk, Coltrane, Mingus.

Fougue, swing et inventivité au rendez-vous ont conduit les 340 mélomanes présents à une nouvelle et troisième standing ovation, du jamais vu depuis très longtemps, rendant aussi par cette dernière un hommage au directeur artistique du Festival, François Chaplin, dont la programmation 2023 a fait la quasi-unanimité du public.

A l’année prochaine !






































































 

230730 – Concert Jazz Manouche – Hommage à Django Reinhardt et Stéphane Grappelli

Au vu des réservations on s’y attendait un peu et il s’en est fallu de peu que l’on ait manqué de places pour accueillir les mélomanes désireux de participer à ce concert de clôture de cette 38ème édition du Festival de Musique, dimanche 30 juillet.

La parfaite organisation des bénévoles tenant la billetterie et s’occupant du contrôle des billets et du placement des mélomanes a permis, comme c’est la plupart du temps le cas, de commencer le concert à l’heure.

En scène, Samuel Strouk, guitariste présentant les morceaux joués avec la complicité de la mémoire du jazz  de Ghali Hadefi, lui aussi guitariste, accompagnés de Jérémie Arranger, contrebassiste et d’Alba Obert au violon, ont, presque 90 minutes durant et mélangeant traditions tziganes et jazz américain, maitrisé à la perfection  le "swing gitan" fier et particulièrement émouvant de Django Reinhardt  aux répertoires de Grappelli,  Monk, Coltrane, Mingus.

Fougue, swing et inventivité au rendez-vous ont conduit les 340 mélomanes présents à une nouvelle et troisième standing ovation, du jamais vu depuis très longtemps, rendant aussi par cette dernière un hommage au directeur artistique du Festival, François Chaplin, dont la programmation 2023 a fait la quasi-unanimité du public.

A l’année prochaine !

230730 – Concert Jazz Manouche – Hommage à Django Reinhardt et Stéphane Grappelli

Au vu des réservations on s’y attendait un peu et il s’en est fallu de peu que l’on ait manqué de places pour accueillir les mélomanes désireux de participer à ce concert de clôture de cette 38ème édition du Festival de Musique, dimanche 30 juillet.

La parfaite organisation des bénévoles tenant la billetterie et s’occupant du contrôle des billets et du placement des mélomanes a permis, comme c’est la plupart du temps le cas, de commencer le concert à l’heure.

En scène, Samuel Strouk, guitariste présentant les morceaux joués avec la complicité de la mémoire du jazz  de Ghali Hadefi, lui aussi guitariste, accompagnés de Jérémie Arranger, contrebassiste et d’Alba Obert au violon, ont, presque 90 minutes durant et mélangeant traditions tziganes et jazz américain, maitrisé à la perfection  le "swing gitan" fier et particulièrement émouvant de Django Reinhardt  aux répertoires de Grappelli,  Monk, Coltrane, Mingus.

Fougue, swing et inventivité au rendez-vous ont conduit les 340 mélomanes présents à une nouvelle et troisième standing ovation, du jamais vu depuis très longtemps, rendant aussi par cette dernière un hommage au directeur artistique du Festival, François Chaplin, dont la programmation 2023 a fait la quasi-unanimité du public.

A l’année prochaine !

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